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Park Chan Yeol
Célébrité : Park Chan Yeol (EXO K)
Etude, emploi : Gestion commerciale, assistant d'un DRH
Chan Baek
Park Chan Yeol
MessageSujet: Humain • Park Chan Yeol Humain • Park Chan Yeol EmptyMar 25 Nov - 16:59

Park Chan Yeol

NOM ⎡ Park ⎦
PRÉNOM ⎡ Chan Yeol ⎦

NÉ(E) LE ⎡ 27/11 ⎦
ÂGE ⎡ 20 ans ⎦
LIEU DE NAISSANCE ⎡ Séoul ⎦

SEXE ⎡ masculin ⎦
SEXUALITÉ ⎡ Baekhyophile. Souffre d'un complexe de situation compliquée, mais il est amoureux, même s'il n'en sait rien. ⎦

AIME ⎡ Fan de thé glacé. Adorateur de nourritures en tous genres. Collectionneur de chapeaux. ⎦
DÉTESTE ⎡ Ne supporte pas la nourriture épicée. N'est pas à l'aise avec de la danse improvisée. Susceptible d'ignorer durant un temps indéterminé si l'on se moque de ses oreilles. ⎦
ETUDES EN COURS ⎡ Gestion commerciale avec option musique (instruments) et langues étrangères (chinois) ⎦
ANNÉE D'APPRENTISSAGE ⎡ 2ème année ⎦

BOULOT ⎡ Assistant du Directeur des Ressources Humaines d'un Hôtel grâce aux relations de ses parents ⎦

AMBITION(S) FUTURE(S) ⎡ Devenir indépendant et construire sa vie comme bon lui semble. Tomber amoureux, et protéger ceux qu'il aime. Diriger sa propre affaire et avoir du temps pour ses passions. ⎦

PASSIONS ⎡ Le rap, le piano, la batterie, la guitare, composer des bandes sons ⎦

Myself & I



TAILLE : ⎡ 1m85 ⎦
POIDS : ⎡ 73 kg ⎦
CORPULENCE : ⎡ grand, fin ⎦
COULEUR PEAU : ⎡ plutôt blanche ⎦
COULEUR CHEVEUX : ⎡ De nature, brun ou châtain foncé, il se colore souvent les cheveux en roux ou en rouge ⎦
COULEUR YEUX : ⎡ yeux bruns/noirs ⎦
STYLE VESTIMENTAIRE : ⎡ Assez simple, dépendant aussi de ses humeurs. Il aime les longs manteaux et les sweat à capuche, mais aussi les chemises ⎦
SIGNE(S) PARTICULIER(S) : ⎡ Il a des grandes oreilles, dont il déteste que l'on se moque. ⎦

Comment décrire Chanyeol ? Il a des traits si particuliers …

Ses cheveux, comme tout asiatique qui se respecte, sont de nature lisse et noire. En effet, il lui arrive de les laisser reprendre leur couleur d'origine, mais a une préférence pour le roux. Chez les européens, cela pourrait être ringard ou même une honte, mais sur Chanyeol, ça lui va juste très bien. Et puis, en vrai, on sait qu'il a les cheveux aussi noirs que les plumes d'un corbeau. Il ne se coiffe pas réellement en se levant le matin, certaines fois, il voudra les onduler ou leur donner du volume, mais la plupart du temps, il les laissera lisse, tels quels. Il a une grande mèche qui couvre tout son front et le reste est mi-long ou à la limite du court, tout dépend le point de vue.

Son visage n'est pas très masculin, sans pour autant être féminin. En fait, il peut avoir un expression très dure et sérieuse, qui lui donnera tout de suite deux ou trois ans de plus, alors que lorsqu'il chahute, joue, sourit, fait l'idiot, on ne lui donne pas plus de 18 ans. Vous avez remarqué ses oreilles ? Elles sont étranges hein ? Ne faites jamais de remarques là-dessus, il risquerait de se vexer et de vous faire la tête pendant un mois. C'est déjà arrivé avec son meilleur ami qui a bien eu du mal à se faire pardonner. Il n'est en général pas très susceptible, mais ses oreilles sont un sujet sensible.

Ses yeux sont souvent rieurs, avec une lueur tellement adorable, même lorsqu'il ne sourit pas, qu'il est tout simplement de bonne humeur, ses yeux le font ressembler à un enfant. On a l'impression qu'il s'amuse de tout et qu'il ne prend rien au sérieux. Évidemment, lorsqu'il le faut, il sait rester totalement sérieux et calme mais c'est uniquement en cas de nécessité.

Il ne s'habille pas vraiment de manière extraordinaire, il est bien, sans en faire trop mais sans se délaisser non plus. Il sait choisir ses vêtements, même s'il ne passe que très peu de temps dans les boutiques, préférant de loin mettre les habits qu'il a déjà. Il pense que c'est de l'argent foutu en l'air que de s'acheter des fringues tous les jours ou toutes les semaines. Il ne fait un tour dans les magasins que lorsque c'est vraiment nécessaire, juste après qu'un vêtement soit inutilisable ou vraiment à jeter.

Il est super grand, surtout pour un asiatique. On peut être grand mais lui, c'en est presque abusé. On se demande parfois ce qu'il a mangé dans sa jeunesse pour l'être autant. Un mètre quatre-vingts cinq, quand même, ce n'est pas rien. Grâce à la batterie, il parvient à avoir un peu de muscles sur les bras, et garder une forme plutôt discrète, ce qui lui va tout à fait. Pratiquant moins, il râle d'avoir perdu les muscles qu'il avait, mais ne peut malheureusement pas pratiquer plus de sport. Avec un corps aussi grand et quelques muscles discrets mais visibles si l'on y regarde de plus près, il pèse un peu plus de soixante-dix kilos. C'est pas mal, hein ?
TRAITS PSYCHOLOGIQUES : ⎡ tête en l'air, intelligent, distrait, souriant, agréable, gentil, serviable, populaire, solitaire, impulsif, amusant, pétillant, têtu, persévérant ⎦

Il n'est pas très difficile à cerner ce petit Chanyeol, il suffit d'un regard pour le connaître. Non, c'est une blague, enfin pas tout à fait. Il cache des choses bien plus grandes que ce que vous pourriez imaginer en le côtoyant.

De prime abord, il est quelqu'un de gentil, de serviable et fait généralement partie des personnes populaires en raison de ses super résultats en cours et de sa bonne humeur. De plus, il n'a pas beaucoup de mal à approcher les gens, de manière globale, il s'entend avec tout le monde, même les plus renfermés, il parvient à gagner un peu de leur confiance. Il ne se bat pas pour l'avoir, ce n'est pas un défi pour lui, il considère que toute personne à son mot à dire.

Son réseau de connaissances lui permet de ne pas trop se perdre dans ses propres chaussures, il est assez tête en l'air. Un rien le distrait lorsqu'il s'ennuie, qu'il marche ou qu'il écoute la musique. Il n'est pas habituel de le voir indifférent aux problèmes des autres, il est d'ailleurs souvent à l'écoute de tout le monde, sans jamais rien demander en retour. Avec tout ce qu'il sait, il pourrait balancer toutes sortes de rumeurs ou écrire une Gazette pour la fac', mais il préfère garder tout cela pour lui. À quoi bon aller le répéter ?

Lui, populaire ? Allez lui dire ça, il se mettra à rire. Il n'est pas vraiment au courant de sa popularité, il s'en fiche. Il sait bien que tout le monde le connaît, que les professeurs l'apprécient de temps en temps quand il a décidé de suivre le cours, mais il dit que ce n'est pas ça, être populaire. Il vous sortira qu'être populaire, c'est être reconnu par tout le monde, craint ou aimé. Mais, c'est ce qu'il est. Il n'est pas idiot, il a une très bonne mémoire même. Son cerveau enregistre tout ce qu'on lui dit, même lorsqu'il ne souhaite pas écouter ou qu'il n'en a pas l'air. Il n'est pas super intelligent, c'est son cerveau qui fait le travail.

Peu importe son réveil, sa nuit, son humeur, il sourira toujours et ne contaminera personne avec ses ondes négatives. Mais il ne faudra pas trop le chercher non plus, on ne sait pas ce qu'il peut arriver. Fraîchement arrivé à Overdose, personne ne connaît son passé et pourquoi il s'est enfuit de son ancienne vie, et cela ne lui va que trop bien.

A long story


Un enfant désiré et aimé.


C'était un vingt sept novembre bien rude. L'année qui touchait bientôt à sa fin et les températures chutaient considérablement. Dans un hôpital de la capitale, des cris résonnaient dans une grande pièce alors que des médecins tentaient de calmer la mère qui allait donner naissance à un enfant. Le père était à ses côtés, veillant à la soutenir du mieux qu'il le pouvait, même s'il n'était pas très à l'aise face à l'arrivée de son premier enfant. Tous deux n'avaient pas voulu connaître le sexe de leur bébé, voulant avoir la surprise. Alors que le père espérait une petite fille, la mère, elle, ne souhaitait qu'avoir un garçon, afin de se sentir fière de son fils dans l'avenir. Elle voulait que plus tard, elle puisse dire haut et fort « c'est mon fils ». La chaleur de la pièce était élevée, en raison des nombreux efforts fournis par la mère pour faire sortir sa descendance de son ventre.

Il n'y eut aucune complication, et la progéniture était en bonne santé. Et devinez qui a gagné sur le sexe ? Le côté maternel. Bien qu'elle soit fatiguée, elle lança un sourire de victoire à son mari avant de plonger dans un profond sommeil. Elle en avait bien besoin, après toute l'énergie qu'elle venait de perdre en mettant au monde son premier enfant, il lui fallait du repos.

La rencontre de ces deux personnes n'a rien à voir avec le destin, tout avait été planifié et arrangé par les grands parents du petit. Un mariage arrangé qui ferait profiter les deux partis, l'un soutenant l'autre en cas de coup dur. L'argent ne fait pas le bonheur ? Mais sans argent, nous ne sommes rien. Ils ne se sont jamais aimés, subissant seulement leur sort avec la plus grande fierté et le plus sombre silence, ne se côtoyant que lorsque c'était nécessaire. Puis vint le jour où ils durent vivre ensemble et avoir des rapports. La jeune femme tomba sous le charme de ce riche héritier, éprouvant pour lui des sentiments, alors que lui n'était présent que pour apporter de l'argent à la maison. Dire qu'ils ne prenaient jamais de plaisir mutuellement serait mentir, mais encore une fois, ils ne le faisaient que pour l'argent.

Il grandit, il grandit le petit.

Chan Yeol fut le nom donné au petit garçon né de ces deux êtres unis par intérêt de leur famille respective. Femme au foyer et quelque peu malheureuse, la mère donna tout son amour au petit garçon, qui grandissait correctement et était toujours en bonne santé. Elle ne se décida pas dans l'immédiat à prendre une nourrice, dans le besoin de dépenser toute son énergie et son affection trop grand pour elle seule. Le jeune héritier apprit alors à marcher, parler, manger, faire pipi (et le reste) à l'aide de sa génitrice, qui voyait en lui l'espoir de la famille, celui qui ferait rentrer le père plus souvent pour connaître son fils.

Cela n'arriva jamais. Directeur d'une grande entreprise, il n'avait certainement pas le temps de s'occuper de sa femme et de son fils. Il délaissa alors sa famille soit disant pour le bien de celle-ci, se chargeant sans cesse d'heures supplémentaires afin d'avoir plus de rente. Cela ne faisait que renforcer la solitude et la peine de la pauvre mère, qui se rabattait sur son fils.

Plus il prenait de l'âge, plus la mère trouvait qu'il ressemblait au père. Des oreilles décollées, des cheveux semblables et la forme du visage rappelait au gamin que son géniteur n'était jamais là et qu'il ne le connaissait même pas. Ce fut dans ce genre d'ambiance que Chan Yeol vécut ses plus petites années innocentes.

Un prodige lassant.

Vers l'âge de ses sept ans, l'enfant fut contraint de suivre des cours de musique. Il n'aimait pas vraiment ça, mais trouva rapidement de l'intérêt pour la batterie. Cela lui permettait de se vider la tête lorsque les baguettes faisaient résonner les grosses caisses de l'ensemble de l'instrument. Il se concentra dessus, sous les yeux protecteurs et bienveillants de sa mère qui en était plus que fière. Elle assistait à chacun de ses cours, émerveillé par son talent naturel, mais elle l'obligea à toucher au piano, car elle trouvait les notes jolies. Elle s'imaginait déjà regarder son fils lui jouer un morceau pour le plaisir, et participer aux concours les plus prestigieux pour gagner des prix et la gonfler de fierté.

Les années continuaient de défiler, ce fut naturellement que la génitrice se détacha de son fils. Elle jugea qu'il ne passait pas autant de temps avec elle qu'avec la musique et décida alors de l'ignorer, comme s'il n'était rien pour elle. Le garçon perdit une mère pour gagner une sœur d'une vingtaine d'années qui s'occupait de lui chaque jour sans relâche. Égoïste, oui c'était le mot, la mère était devenu égoïste, préférant voir ses copines riches hypocrites plutôt que de regarder son fils. Le sentiment de fierté qu'elle ressentait pour son fils s'envola aussi rapidement qu'il était venu, ne laissant que dégoût et ignorance pour cette chose. Pour elle, ce n'était plus un petit homme mais une chose qu'elle avait fait naître. La véritable raison de son éloignement fut qu'il lui rappelait beaucoup trop son mari absent et qu'elle ne le supportait pas. Le petit garçon de son côté ne cessait de faire des efforts pour que sa mère le remarque de nouveau, mais se trompa sur toute la ligne.

Le revers de la médaille.

Sans arrêt sur son dos, la mère lui criait dessus pour un rien, le punissait, le disputait, se faisait passer pour une bonne mère auprès de ses invités. Alors que ce n'était qu'une pauvre façade que le collégien détestait et dont il se lassait. Chaque jour, un peu plus d'indifférence se lisait dans ses yeux lorsqu'il regardait sa mère mais ça, elle ne le remarqua pas, bien trop préoccupée par sa manucure qu'elle devait refaire. Son père lui autorisait de continuer ses cours de musique en plus de ses études dans une école privée, il était doué et ses professeurs ne cessaient de le lui répéter. Lui, il s'en fichait, il voulait simplement extérioriser sa peine et sa colère dans des notes.

Il entra dans un lycée tout aussi riche et privé que son collège. Il ne voulais pas spécialement se faire d'amis, il commença même à être violent envers les autres. Surtout ceux qui lui cherchaient des noises. Il se prit des raclées, rentrant dans des états pitoyables parfois, mais jamais, ne baissa les yeux devant ses adversaires. Et comme on dit, plus on a de l'expérience, plus c'est simple.

C'est lors de sa première année qu'il fut craint, des rumeurs toutes plus insensées les unes que les autres tournèrent autour de sa réputation et on n'osait même pas l'approcher. Dans la même période, il rencontra un autre lycéen, qui lui, n'avait pas peur de l'affronter, bien au contraire, et ils se détestaient mutuellement. Mais un jour, tout changea.

C'était un soir de pluie et les deux jeunes s'étaient croisés par hasard dans une rue. Les hostilités furent lancées, et chacun se tapait dessus sans retenue. Chan Yeol en prenait plein son grade mais se releva à chaque fois, amochant l'autre également. Ils étaient bien idiots, ces deux-là, à se foutre sur la gueule sans aucune raison. Bien trop rapidement, ils se rendirent compte que leurs conneries les avaient porté dans le coin d'un gang de rues qui n'était pas commode. Une dizaine de mecs se retrouvèrent en face d'eux, et dans la même galère, ils furent contraints de s'aider. Naquit une amitié incroyable et un soutien qu'ils pensaient impossible entre eux. Alors que son nouveau meilleur ami restait mystérieux sur ses origines et sa famille, Chan Yeol n'hésita pas une seule seconde à lui raconter ses petits malheurs.

Ils devinrent inséparables, faisant les quatre cents coups pour le plus grand désarroi des géniteurs de Chan Yeol, qui eux, ne voyaient pas ça d'un bon œil. Tous les jours, c'était la même chose lorsqu'il rentrait dans leur grande maison. Des disputes, des paroles insolentes, des reproches de la part des adultes, et lui qui fuguait toute la nuit afin de rejoindre la chambre de son meilleur ami. Parfois, il ne rentrait pas dans la maison familiale pendant plusieurs jours, mais était toujours contraint d'y retourner lorsqu'une voiture noire s'arrêtait devant l'immense portail de la famille Mun. Ce n'était pas son père en personne qui venait le chercher, mais au début, au moins cinq hommes, à la fin, un seul chauffeur. Chan Yeol devenait « docile », après tout, ces hommes étaient payés et faisaient simplement leur boulot, pourquoi leur faire vivre un enfer alors que leur vie n'est déjà pas facile. Dés qu'il voyait le véhicule, il soupirait et quittait la maison de son ami sans faire d'histoires. Mais plus d'une fois, il recommença ses petites vacances chez Kai.

Les deux adolescents n'étaient pas vus d'un très bon œil par certains groupes du lycée, qui prévoyaient de les attaquer de face. Or, ignorant complètement les origines de son meilleur ami, Chan Yeol n'avait pas hésité une seule minute à le rejoindre dans une énième bagarre, dont l'autre s'était bien retenu de le mettre au courant. Il prit directement part aux conflits à son arrivée dans le bordel, frappant sans retenue aucune les assaillants qui avaient bien défoncés son pote. Mais ensuite, ce fut Chan Yeol qui se fit attraper pour se faire battre, retenu par un gangster puissant duquel il ne parvenait pas à se libérer. Au bord de l'inconscience, il eut tout le même le temps de voir son meilleur ami prendre la forme d'un Loup avant de sombrer.

Il fut bien vite réveillé, dans un hôpital, soigné et en forme malgré son état. Durant les jours qui suivirent sa sortie, il fuyait son ami comme la peste, essayant tant bien que mal de se dire qu'il regardait trop la télé et qu'il avait du rêver. Pourtant, le sentiment de frayeur ne le quitta pas, et s'intensifia lorsque Kai vint lui parler, dans un coin isolé du lycée. Il s'excusa d'abord d'avoir gardé le secret, puis lui déballa toute sa vie. En parlant de sa mère décédée, des nombreuses insultes qu'il recevait de ses cousins, oncles ou tantes. Il était accusé d'avoir assassiné sa mère, et de ne pas être un bon héritier. Qu'est-ce qu'il pouvait faire après tout ? Il n'avait pas choisi ce titre. Chan Yeol rencontra quelques fois son cousin, un chinois à la santé fragile, mais sans lui parler plus que cela. Il lui conta les conflits entre les deux clans, la raison du pourquoi et du comment, ainsi que leurs nombreuses règles. Le jeune Park promit de garder le secret. Qui le croirait de toutes façons ? Le fait de le savoir ne le mêlait en rien à leur guerre, et il portait donc un avis neutre, que ce soit sur les Sungs, ou les Muns.

Un enfant en manque de ses parents malgré tout.

Le gamin devenu grand et adulte se désintéressait totalement de la vie de ses parents. Il fut même égoïste lorsque sa mère tomba malade, d'une grippe assez importante. Il ne souhaitait pas sa mort, c'était tout de même la femme qui lui avait donné naissance, mais il ne s'emporta pas non plus lorsqu'elle faillit y penser. La mauvaise graine ne meurt pas. Il eut raison de penser ainsi, elle survécut sans peine et agissait toujours comme si elle n'avait jamais eu de fils. Fils unique, Chan s'ennuyait de cette vie et ce fut pour cette raison qu'il se rebella, à sa manière, en devenant une terreur au lycée. Au collège, il était du genre froid, à ne parler à personne, envoyant balader qui voulait lui parler. Mais sa colère fut tellement immense que voir de nouvelles têtes l'a fait sortir de ses gongs, relâchant absolument tout.

Les premiers visés dans ses actes étaient ses parents. Involontairement, il avait envie d'être regardé, il souhaitait silencieusement que sa mère soit de nouveau fière de lui, même si pour cela, il faisait des conneries et que finalement, il ne s'est plus jamais vraiment attaché à ces adultes. Cela n'a fait que renforcer la distance qui les séparait tous les uns et des autres, il était tout simplement impossible de revenir en arrière.

Malgré ses nombreuses conneries, bagarres, insolences, il parvenait à être intelligent. Une bonne moyenne, un cerveau qui enregistre malgré lui ou même quand il s'endort sur la table dans une salle de classe. Ses professeurs ne l'aimait pas et c'était pour cette raison. Ses parents ne s'occupaient pas vraiment de lui alors qu'il aurait aimé une phrase réconfortante, comme « c'est bien, mon fils ». Ou une autre réplique qui aurait prouvé qu'il appartenait à cette famille hypocrite. Mais jamais rien ne vint éclairer sa vie.

Après l'obtention de son diplôme, il fut envoyé loin des problèmes, loin de ce meilleur ami qui ne semblait pas correct aux yeux de ses géniteurs. Il passa un an en Amérique afin d'améliorer son niveau de langues et commencer à travailler en tant que stagiaire dans des entreprises en partenariat avec celle de son père. Évidemment, en plus d'être délaissé, il fallait qu'il reprenne le flambeau familial. Comme si cela l'intéressait. Durant cette année loin de la capitale,  il apprit à vivre en Société, mais fut contraint de laisser tomber la musique pour une période encore indéterminée. Déjà au lycée, il négligeait sa passion. Il devait avoir perdu beaucoup de repères et il en fut bien triste.

Une nouvelle vie commence avec son lot de surprises.

Il avait perdu contact avec son meilleur ami et lorsqu'il rentra à Séoul, celui-ci était parti rejoindre sa famille dans sa vie natale, dont il avait oublié le nom. Pour le père de Chan Yeol, il était hors de question que son fils n'entre pas dans une faculté pour continuer ses études, et une décision fut prise pour lui. Cependant, ayant passé une longue année dans le business, il exposa ses conditions, sans vraiment leur laisser le choix.

« _ Voici mes conditions : j'irai étudier à Overdose. Je me suis déjà renseigné, il y a de très bonnes facs de renommée là-bas, donc aucune honte pour vous. Il va sans dire que j'aurai un appartement et une voiture, que vous aurez le soin de prendre en charge pour moi. J'irai là où tu me placeras pour continuer mon apprentissage en matière de gestion et tout ce qui s'ensuit. J'étudierai également le cursus que tu m'imposeras, mais je continuerai la musique. Je prendrai des options, des cours en plus, peu importe. Ce sera une matière comme les autres, et il sera hors de question que je manque ne serait-ce qu'une minute de ce cours pour autre chose. J'espère que tout est clair. Si vous voulez bien m'excuser, je vais faire mes bagages. »

Sur ces mots, son père se sentit désarmé mais après réflexion, il était fier de l'état de son fils. Sa personnalité s'était assagie en Amérique et il pouvait maintenant s'en rendre compte en faisant un bilan. Loin de son meilleur ami, son fils était plus que parfait, et il se mettait à penser qu'il ferait un excellent héritier. Les conditions de l'étudiant n'était pas compliquée en soi, il suffisait juste de respecter sa part du marché.

Le jeune adulte ne perdit pas de temps et rejoignit aussitôt l'île d'Overdose. La rentrée se passa correctement. Pour son plus grand bonheur, il retrouva son meilleur ami dans les couloirs de l'université, et tous deux redevinrent des idiots inséparables comme dans le temps, bien qu'ils furent changés et adultes. Ils se permettaient de faire des conneries mais plus de bagarres, plus de conflits inutiles. Kai avait des responsabilités importantes, Chan Yeol un deal a respecté.

Cela faisait quelques mois qu'il était entré à l'université, et il avait remarqué un petit être fragile dans son cours de chinois. Il s'était rapidement aperçu qu'il était victime de violence, mentale et physique, mais au départ, le plus grand s'était dit qu'il n'avait pas le droit de se mêler de ses affaires. Mais plus le temps passait, et plus il voulait lui parler. L'occasion se présenta un jour de soleil, alors qu'il cherchait les robinets extérieurs afin de boire un coup. Il s'était détaché de sa bande, ne demandant pas le chemin, parce que normalement, il le connaissait. Mais tête en l'air comme il était, il avait regardé le ciel avant de se rendre compte qu'il s'était paumé dans les allées et cours de l'université. Il aperçut alors une silhouette sur un muret en train de lire et l'avait rejointe afin de lui demander son chemin. Il fut surpris de voir son camarade persécuté et après un bref échange de paroles, le plus petit s'était enfui sans lui dire son prénom.

Les cours de chinois suivants étaient amusants pour Chan Yeol qui ne cessaient de taquiner gentiment son camarade en lui chuchotant des mots, lui demandant s'il allait bien toutes les cinq minutes, ou tout simplement un « pst » pour qu'il se retourne vers lui, et finalement faire comme si de rien n'était. Leurs échanges n'allaient pas plus loin, malheureusement, car l'autre ne semblait pas vouloir que l'on s'approche de lui. Têtu comme était le jeune Park, il ne lui laissa pas le loisir d'être débarrassé de lui. Ce qui les a vraiment rapproché ? Une baston dans une rue.

Chan Yeol rentrait chez lui, en bus. Il possédait une voiture, mais aimait beaucoup prendre les transports en commun, cela lui permettait d'être quelqu'un de normal parfois. Donc ce jour-là, il regardait pensivement à travers la vitre du bus, et, quand il aperçut le sujet de sa curiosité, il descendit rapidement les marches du véhicule, non sans entendre les râlements du chauffeur qui était arrêté à un feu tricolore. Il chercha alors le plus jeune, fronçant les sourcils alors qu'il ne le voyait pas et avança de quelques pas. Il le trouva au sol, en train de se faire emmerder par de faux caïds.

On passera ce qu'il s'est passé. Chan Yeol avait sauvé son camarade, entrant dans le bâtiment de l'université le lendemain, avec la joue bleue et la lèvre ouverte. Rien de bien dramatique en soi. Il ne regretta rien de tout ce qui suivit leur rencontre et leur rapprochement. Un peu de mystères va être tenu mais il faut simplement savoir que Baek Hyun, ce petit être fragile et Chan Yeol, l'ancien rebelle, vivent désormais sous le même toit.


Derrière l'écran

Bon alors ._.
Mon vrai prénom restera un secret (même si certains le connaissent ha ha) mais mon âge, oui, ça, je peux le dire. J'ai 19 ans et puis en juillet ... 20 ... PENDEZ MOI AVAAAAAAANT !!

Je suis une fille qui adore le Yaoi, en particulier les fanarts des personnages qui, à la base, ne sont pas dans des shonen-ai. Mais aussi les dramas, les fictions, la KPOP, les EXO (SURTOUT LES EXO /PAN/)

J'ai pris Chan Yeol parce qu'il me plait bien. C'est un personnage facile à jouer et qui a une petite bouille toute adorable sans pour autant être dénué de virilité. **


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Humain • Park Chan Yeol

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